À la rencontre de Ruphin Kayembe !

Nos joueurs ont démarré leur saison la semaine dernière à Gaston Neveur ! L’occasion, pour nos supporters, de voir à l’oeuvre les recrues de l’intersaison. Après Antoine Dudit, Norville Carey et Thibaut Lonzième, on termine la présentation de nos nouveaux joueurs avec Ruphin Kayembe ! 

Ruphin, pourquoi as-tu fait le choix de rejoindre le Stade Rochelais cet été ?

J’ai eu le coach au téléphone qui m’a présenté le projet et l’ambition liée. C’est un projet que j’ai toujours voulu pendant ma carrière. J’étais en NM1 il y a 4 ans, on avait été jusqu’en finale mais on avait perdu. Ça m’a beaucoup marqué. En Pro B, j’ai joué des play-offs sans jamais aller au bout. 

Que penses-tu pouvoir apporter à l’équipe, toi qui viens de vivre quatre années quasiment pleines en Pro B ?

Mon expérience en premier lieu. Et puis ce petit plus qui manquait à l’équipe, surtout à l’intérieur sur le poste 5.

Tu es arrivé assez tard au sein de la formation rochelaise, puisque tu as été recruté à la fin de la préparation. Mais tu as l’air déjà bien intégré, comment as-tu été accueilli ?

J’ai eu la chance de connaître la quasi-totalité de l’effectif, avant même d’arriver ici. À commencer par Antoine Dudit, avec lequel j’ai joué lorsque j’étais à Challans. Il était encore jeune mais déjà bon. Gaëtan Clerc, aussi, j’ai beaucoup joué contre lui quand il était à Caen tout comme Arnauld Thinon et Norville Carey lorsqu’ils étaient à Poitiers. Mais aussi Franck Seguela quand il était à Vitré. Ça m’a permis de parler à tout le monde avant de venir, et ça a matché directement lors de mon arrivée.

Tu as déjà joué deux matches en Jaune et Noir. Malgré le résultat final sur le papier, comment tu t’es senti sur le terrain ?

 Je viens juste d’arriver, cela fait une dizaine de jours que je m’entraîne, après plus de cinq mois d’absence en raison d’une blessure. Ça se passe très bien, il y a encore beaucoup de choses à mettre en place. On a joué sans vraiment avoir travaillé nos automatismes à l’entraînement. C’est hyper important pour exprimer notre potentiel à l’avenir. 

Quels sont les objectifs à court terme ? Retrouver le succès et continuer à développer des automatismes avec tes coéquipiers ?

C’est exactement ça ! D’abord trouver les automatismes, car c’est la base de notre sport collectif. Les victoires passeront par là. J’ai la chance de connaître les gars à l’intérieur, ce sont des mecs qui connaissent le basket, qui jouent à ce niveau depuis longtemps. Je pense que ça va forcément bien se passer. En dix jours, j’ai déjà joué trois matches donc ça va venir.